La Fédération algérienne de football (FAF) a gagné deux procès pour diffamation contre deux journalistes de la presse nationale.
Le premier condamné à 50 000 DA d’amende, soit le maximum pour des journalistes présents à l’audience, et le second à deux mois ferme et à 50 000 DA car étant absent à l’audience.
Trois (03) autres affaires sont en cours, alors que les affaires de cybercriminalité sont en cours d’instruction auprès des services de la sûreté nationale sur instruction du procureur général.
La FAF se félicite que la justice algérienne ait rendu un verdict juste et équitable et rappelle qu’elle poursuivra toute personne ou organe n’ayant pas respecté les règles de déontologie et les pratiques saines du journalisme.
La critique est un art et la FAF est ouverte à toutes les critiques constructives et pertinentes, mais jamais à la diffamation, l’invective, le mensonge, la manipulation, les règlements de compte et les attaques perfides à desseins.
La FAF usera de tous les moyens légaux pour défendre ses intérêts, y compris moraux, en tant qu’institution, ceux de ses membres élus et de son personnel.
Il est utile de souligner que depuis l’élection du nouveau bureau fédéral le 20 mars 2017, la FAF, son président et certains de ses membres, ont souvent fait l’objet d’attaques frontales et de viles diffamations pour servir des intérêts, certains occultes mais d’autres bien connus par l’opinion sportive.
Même le mouvement du Hirak a été utilisé par certains clans hostiles à la FAF pour la déstabiliser et l’affaiblir devant l’opinion en associant par exemple et de manière abjecte le nom de son président à des affaires de corruption et à la Issaba, sans mesurer les conséquences de telles accusations ou insinuations à tort sur l’intégrité morale des personnes attaquées et de leurs familles.